Alexandre Houot habite depuis vingt et un ans rue de la Libération, à Marines. Chef de projet en informatique chez Enedis, il met son expérience de la conduite de projets au service du collectif, avec une approche pragmatique et tournée vers l’action. Ce qu’il aime à Marines, c’est ce mélange unique entre nature et vie pratique. Il apprécie de vivre dans une petite ville entourée de champs, tout en ayant à portée de main commerces, écoles, médecins et associations. « C’est une chance d’avoir ici tout ce qu’il faut pour bien vivre, sans renoncer à la tranquillité du Vexin », explique-t-il. Engagé et attentif à son environnement, Alexandre a souhaité rejoindre l’équipe municipale pour agir concrètement face à la dégradation du cadre de vie qu’il constate depuis plusieurs années. Il veut contribuer à redynamiser Marines, moderniser ses infrastructures et relancer des projets qui profitent à tous. Fort de son expérience professionnelle, il souhaite mettre à disposition de la commune ses compétences en gestion de projet, en numérique et en transition énergétique, des domaines essentiels pour construire une ville plus efficace, durable et connectée. « Il était temps pour moi d’agir plutôt que d’attendre que d’autres le fassent à ma place », résume-t-il. Avec sa rigueur, son sens du concret et sa volonté d’aller de l’avant, Alexandre veut participer à bâtir une ville active, moderne et respectueuse de son environnement.

Âgée de 44 ans, Audrey Guezello vit depuis quinze ans dans le quartier des Murgers à Marines. Mariée et maman de deux filles, elle a choisi, avec sa famille, de quitter l’agglomération de Cergy-Pontoise pour s’installer à la campagne et offrir à ses enfants un cadre de vie plus serein et plus proche de la nature. Ingénieure commerciale dans le domaine de l’informatique et de la cybersécurité, Audrey a d’abord travaillé pendant dix ans dans le secteur médical. Cette première expérience professionnelle lui a donné une sensibilité particulière aux questions de santé publique et de bien-être. C’est aussi ce parcours qui nourrit aujourd’hui son envie de créer une Maison de la Santé à Marines, un lieu où les professionnels de santé seraient réunis pour proposer une offre cohérente et accessible à tous. Audrey aime Marines pour sa qualité de vie : un environnement verdoyant, une commune à taille humaine où l’on se sent en sécurité, et une vie associative riche, qu’elle connaît bien à travers sa pratique du Taïso au club de judo local. Engagée par envie d’agir, elle souhaite contribuer à rendre Marines plus dynamique, plus propre et plus sécuritaire, tout en préservant son esprit village. Elle en est convaincue : avec de l’énergie, des idées et une vraie volonté collective, Marines peut redevenir une ville vivante, accueillante et tournée vers l’avenir.

Âgé de 37 ans, Brice Pénichot vit depuis sept ans dans le centre-ville de Marines. Opticien de profession et président de l’association des commerçants, il fait partie de ces acteurs locaux qui animent le quotidien de la commune. Également membre de l’association des parents d’élèves, il s’investit pour que Marines reste une ville vivante, conviviale et tournée vers ses habitants. Ce qu’il apprécie ici, c’est avant tout l’équilibre : une ville à taille humaine qui offre tout ce dont une famille a besoin. « Marines coche toutes les cases de la ville idéale dans laquelle je voulais vivre : des écoles de la maternelle au collège, un large choix d’associations sportives, et des commerces de proximité essentiels », explique-t-il. Son engagement municipal est né d’abord de la curiosité, puis d’une vraie envie d’agir. En tant que commerçant, il regrette parfois un manque de dialogue entre la mairie et les acteurs économiques, et souhaite apporter une vision plus collaborative et concrète du développement local. Fort de dix années d’expérience à son compte, Brice veut mettre son sens de la gestion et du terrain au service de la collectivité. Il plaide pour une ville plus dynamique, où la concertation et la communication deviennent des leviers d’action. « La vie à Marines est déjà agréable, confie-t-il, mais rendons-la parfaite en travaillant ensemble. » Un état d’esprit simple, constructif et fédérateur — à l’image de son engagement.

Âgée de 21 ans, Céline Pinel vit depuis toujours à Marines, dans le quartier de la rue Jean-Mermoz. Issue d’une génération pleinement ancrée dans la vie locale, elle souhaite aujourd’hui s’engager pour contribuer à faire évoluer la commune tout en préservant ce qui fait son charme. Cheffe de rang dans la restauration, Céline connaît la valeur du contact humain, de l’écoute et du travail d’équipe. Ces qualités, qu’elle exerce au quotidien dans son métier, nourrissent son envie d’agir pour sa ville avec pragmatisme et enthousiasme. Très attachée à la vie associative et aux événements festifs qui rythment la commune, elle apprécie particulièrement la convivialité de Marines et la tranquillité de son environnement. Pour elle, cette sérénité rurale est un atout à préserver, mais elle souhaite aussi redonner à la ville le dynamisme qu’elle a connu dans son enfance. Motivée par l’idée de rendre Marines plus vivante et attractive, Céline veut soutenir les associations, mettre en valeur les commerçants locaux et encourager les initiatives collectives qui favorisent le lien social. Porteuse d’un regard neuf, elle souhaite faire entendre la voix de la jeunesse marinoise et apporter des idées concrètes pour renforcer la participation des jeunes dans la vie de la commune. Sincère, engagée et proche des habitants, Céline aspire à une ville à son image : ouverte, dynamique et conviviale, où chaque génération trouve sa place.

Originaire de Fontainebleau, David Bry, 51 ans, s’est installé à Marines il y a plus de vingt ans, dans le quartier des Quatre Arpents. Responsable grand compte dans l’industrie automobile, il met aujourd’hui son expérience du travail en équipe et de la gestion de projets complexes au service de la vie locale. Son lien avec Marines remonte au printemps 2001. En découvrant la ville pour la première fois, il se souvient avoir été séduit par les cerisiers du Japon en fleurs sur le boulevard de la République. Ce souvenir est resté gravé comme le point de départ d’une belle histoire familiale : son fils y a appris à marcher, à grandir, et la commune est depuis devenue leur ancrage. Attaché à ce village à la campagne, situé à seulement cinquante kilomètres de Paris, David apprécie son cadre de vie, mais constate qu’il a perdu un peu de son éclat au fil des années. Aujourd’hui, il souhaite lui redonner de la vitalité, entretenir ses espaces publics, raviver sa vie associative et recréer du lien entre les habitants. Convaincu que le changement passe par l’action, il veut s’impliquer concrètement : « Si on veut que ça bouge, c’est à nous de bouger. Ce n’est pas en restant assis dans un canapé qu’on fera avancer les choses. » Avec son énergie et son esprit fédérateur, David veut redonner un souffle collectif à Marines, une ville à laquelle il reste profondément attaché.

À 50 ans, Gilles Mercier vit depuis cinq ans dans le quartier des Quatre Arpents à Marines. Originaire du Vexin, il a grandi dans ce territoire auquel il reste profondément attaché. Après plusieurs années passées en milieu urbain, la naissance de son fils a été un déclic : il voulait lui offrir une enfance au grand air, dans un environnement serein et à taille humaine. Marines s’est imposée comme une évidence. Responsable dans le e-commerce, Gilles aime les projets concrets et le travail en équipe. Il observe, réfléchit et agit avec bon sens. Ce qui le motive aujourd’hui, c’est de voir Marines retrouver un peu plus de dynamisme et de lien entre les habitants. « J’aime cette ville, je m’y sens bien. Mais je crois qu’on peut aller plus loin, tous ensemble », confie-t-il simplement. Très attaché à la convivialité et à la vie locale, il apprécie les moments qui rassemblent : le marché, les associations, les événements partagés. Pour lui, ces rencontres donnent du sens à la vie de la commune. Gilles souhaite avant tout encourager la participation de chacun : que les habitants ne soient plus spectateurs, mais acteurs de leur ville. Il croit à la force du collectif, à la transmission entre générations et à la simplicité des échanges. Son engagement est à son image : authentique, réfléchi et bienveillant, avec l’envie de contribuer, à sa manière, à une ville vivante et accueillante.

Installée à Marines depuis dix-sept ans, Ingrid Gaudaire habite le quartier des Murgers. Passionnée de couture, elle en a fait son univers professionnel et personnel, mêlant créativité, patience et sens du détail. Présidente de l’association Des paillettes au P’tit Déj, elle met son savoir-faire et son enthousiasme au service du partage et de la convivialité. Ce qu’elle aime à Marines, c’est cette ville à taille humaine qui répond aux besoins de toutes les générations, tout en offrant un cadre de vie préservé au cœur du Parc naturel régional du Vexin français. Pour elle, vivre ici, c’est profiter de la nature sans renoncer à la vitalité d’une commune vivante et accueillante. Engagée par nature, Ingrid veut aujourd’hui être au cœur des décisions. Elle ne se contente pas d’observer : elle agit. Son envie ? Se rendre utile, apporter son énergie, donner un peu de son temps à la ville qu’elle a choisie. Elle porte un regard sincère sur son engagement : « Je n’ai jamais réussi à rester indifférente. Quand quelque chose me tient à cœur, j’ai besoin de m’y investir. » Cette franchise et cette détermination sont au centre de sa démarche. Avec sa sensibilité, son regard créatif et son envie de faire avancer les choses, Ingrid souhaite contribuer à faire de Marines une commune toujours plus dynamique, bienveillante et tournée vers l’avenir.

Âgé de 44 ans, Michaël Chéron vit à Marines depuis toujours. Du quartier des Murgers, il fait partie de ces habitants profondément ancrés dans la vie locale. Aujourd’hui responsable d’atelier de maintenance à la RATP, il met la même rigueur et le même sens du collectif dans son engagement pour sa commune. Très impliqué dans la vie associative et culturelle, Michaël est depuis de nombreuses années le technicien son et lumière de la salle Pompidou, où il accompagne les spectacles de fin d’année des écoles et des associations. Il participe également à la sonorisation des événements extérieurs, contribuant ainsi à la réussite de nombreux moments festifs marinois. Passionné de sport, il est licencié au club de badminton depuis plus de vingt ans. Ancien conseiller municipal à 18 ans, il a très tôt eu le goût de l’action publique et de la vie citoyenne. Attaché à sa ville de cœur, Michaël souhaite redonner à Marines le dynamisme et la convivialité qu’elle a connus. Il défend une commune agréable, propre, sûre et animée, où chacun puisse trouver des occasions de se rencontrer et de participer. Fort de son expérience technique, de sa connaissance du terrain et de son esprit d’équipe, il veut contribuer à faire de Marines une ville vivante, harmonieuse et tournée vers ses habitants. « Marines, ma ville de cœur, s’est un peu endormie… Réveillons-la ! » sourit-il.

Habitant de Marines depuis 2009, Michel Déjardin réside dans le quartier des Quatre Arpents. Retraité de la fonction publique territoriale, il met aujourd’hui son expérience au service de la commune, avec la volonté de contribuer activement à son développement et à la qualité de vie des Marinois. Son parcours professionnel, riche et varié, s’est construit autour du service public et de la gestion technique des collectivités. Dessinateur, projeteur, technicien, puis chef de projet pour le tramway Val de Seine, Michel a occupé des fonctions clés dans la conception, la maintenance et la conduite d’opérations publiques. Il a ensuite été directeur des services techniques de la ville de Courdimanche, avant d’exercer comme commissaire enquêteur pour le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise. Père et grand-père comblé, Michel porte un regard attentif sur les besoins de chaque génération. Pour lui, une commune doit savoir allier tradition et modernité, en restant à l’écoute des familles, des jeunes comme des aînés. Acteur reconnu du monde associatif, il a longtemps œuvré dans le domaine sportif, en tant que participant, encadrant et éducateur à l’échelle départementale. Attaché à l’identité de Marines, Michel se dit profondément sensible à son esprit de “ville à la campagne”, à son appartenance au Vexin Français et à la simplicité de ses habitants. Initiateur de la liste municipale, il souhaite rassembler des profils complémentaires autour d’objectifs concrets : renforcer les liens entre les générations, soutenir le commerce local et les associations, améliorer l’environnement et le quotidien, et redonner à Marines la place qu’elle mérite. Pour lui, l’avenir de la commune doit se construire autour d’une idée simple : une ville accueillante, ambitieuse et solidaire, où il fait bon vivre.

Âgé de 45 ans, Nicolas Viez habite rue Vieille de Chars, en plein centre-ville de Marines. Marinois depuis toujours, il incarne ces habitants profondément attachés à leur commune et à son esprit village. Professionnellement, Nicolas est agent d’exploitation des routes au sein du département du Val-d’Oise, au centre d’exploitation basé à Marines. Un métier exigeant et concret, au plus près du terrain, qui traduit bien sa personnalité : pragmatique, engagée et proche des gens. Très investi dans la vie associative, il est vice-président de l’AS Vexin (Football) et responsable de la section vétérans (+35 ans). Le sport occupe une place importante dans sa vie, non seulement pour le plaisir du jeu, mais aussi pour les valeurs de solidarité, d’effort collectif et de respect qu’il véhicule. Ce qu’il aime à Marines, c’est la diversité et la richesse de la vie locale : les commerces, les services médicaux, les écoles de la maternelle au collège, et une offre associative dense — le tout dans un cadre verdoyant et à taille humaine. Mais pour lui, Marines s’est un peu endormie au fil du temps. Son objectif est clair : redonner du dynamisme et de l’animation à la commune, pour toutes les générations. Fort de ses racines marinoises et de son énergie, il souhaite faire le lien entre les anciens et les nouveaux habitants, afin que chacun trouve sa place dans une ville vivante, conviviale et fière de son identité au cœur du Vexin français.

Installée à Marines depuis trente-six ans, Rosa Courtois, 64 ans, vit dans le quartier des Murgers. Retraitée, elle a exercé comme assistante comptable en cabinet d’expertise, un métier où la rigueur et le sens de la relation humaine occupaient une place essentielle. Très attachée à sa commune, Rosa a longtemps participé à la vie locale à travers l’association des parents d’élèves et le Foyer Socio-Éducatif du collège de Marines. Ces engagements lui ont permis de tisser des liens solides avec les familles et de mieux comprendre les besoins du territoire. Ce qu’elle aime à Marines ? Le calme de la campagne, la proximité de la nature et l’esprit convivial d’une ville à taille humaine. Pour elle, cette douceur de vivre est une richesse qu’il faut préserver, tout en gardant l’envie d’aller de l’avant. Rosa souhaite aujourd’hui s’impliquer pour renforcer la solidarité et le lien entre les générations. Elle croit à une commune où chacun peut trouver sa place, être écouté et soutenu. « Je veux contribuer à une ville où personne ne se sent exclu, où l’on peut compter les uns sur les autres », résume-t-elle simplement. Forte de son expérience professionnelle et de son engagement citoyen, elle souhaite apporter son sens de la gestion, son écoute et son énergie à des projets concrets qui favorisent le vivre-ensemble et une ville dynamique, écologique et solidaire.

Installée à Marines depuis 28 ans, Sandrine Briot, 57 ans, habite rue Jean-Mermoz. Assistante maternelle, elle incarne une figure bien connue du quotidien marinois : celle d’une habitante investie, dynamique et proche des familles. Très attachée à sa commune, Sandrine apprécie autant la nature environnante que la richesse de la vie associative, qui, selon elle, contribue fortement au lien entre habitants. Son engagement ne date pas d’hier : présidente du comité des fêtes, elle participe activement à l’animation de la ville et à la création d’événements fédérateurs. Ces moments de convivialité, elle les voit comme le cœur battant de Marines. Avec cette même énergie, Sandrine souhaite aujourd’hui redonner du “peps” à la commune en imaginant de nouveaux rendez-vous festifs et culturels. Pour elle, les événements locaux ne sont pas de simples distractions : ils renforcent la cohésion, favorisent les rencontres et donnent envie de s’impliquer. S’appuyant sur son expérience du monde associatif, sa bonne humeur et son sens du contact, elle souhaite contribuer à une ville plus vivante et conviviale, où chacun puisse trouver sa place et participer à la dynamique collective. Toujours tournée vers les autres, Sandrine résume son engagement simplement : elle veut redonner à Marines l’énergie et la convivialité qui en font une ville où il fait bon vivre.

Installée à Marines depuis quatre ans, Virginie Trecherel, 37 ans, avocate, a choisi de s’engager pour sa commune avec la volonté d’y apporter son énergie et ses convictions. Séduite par l’esprit village de Marines, elle apprécie cette ville à taille humaine où la proximité entre habitants, la vitalité des commerçants et la nature environnante créent un cadre de vie unique. Déjà membre de la commission Bien-être animal, Virginie œuvre pour la protection des animaux et la sensibilisation au respect du vivant. Elle souhaite poursuivre les actions existantes – trappage, stérilisation et adoption des chats errants – tout en développant de nouveaux projets comme la création d’un caniparc, la mise en place de médiations animales dans les écoles et maisons de retraite, ou encore la fabrication de nichoirs par les enfants des écoles. Maman d’une petite fille, elle veut aussi dynamiser la ville autour de la petite enfance, en proposant davantage d’activités et de lieux d’échange pour les plus jeunes et leurs familles. Avocate de profession, Virginie s’intéresse particulièrement aux questions d’urbanisme et de patrimoine, convaincue que l’entretien et la valorisation des espaces publics participent à l’identité et à l’attractivité de Marines. Pour elle, l’avenir de la commune repose sur trois valeurs essentielles : bienveillance, échange et entraide. « J’imagine Marines comme une ville accueillante et dynamique, où chacun trouve sa place et contribue au bien commun », affirme-t-elle avec conviction.

Âgée de 38 ans, Caroline Louette habite rue du Général-de-Gaulle. Marinoise de naissance, elle n’a jamais quitté la commune à laquelle elle est profondément attachée. Elle incarne cette génération qui a grandi à Marines, y a construit sa vie, et souhaite aujourd’hui poursuivre son engagement au service de sa ville. Assistante aux services généraux et aux achats, Caroline met au quotidien son sens de l’organisation, de la rigueur et de la coopération au service de son travail. Ces qualités, elle les a également mises au service de la collectivité : conseillère municipale pendant deux mandats, elle a acquis une solide connaissance du fonctionnement communal et des réalités locales. Active dans la vie associative, elle a participé au comité des fêtes, au jumelage et au club de badminton. Aujourd’hui, ce sont ses enfants qui prolongent cet engagement à travers le Mouv’Arts Vexin, une association dynamique à laquelle elle tient beaucoup. Ce qu’elle aime à Marines, c’est avant tout son esprit village, sa convivialité et les animations qui faisaient autrefois battre le cœur de la ville : cabarets, défilés de lampions, fête foraine, Téléthon, lotos, feux de la Saint-Jean… Autant de moments qu’elle souhaite voir renaître. Forte de son expérience et de son attachement à la commune, Caroline veut contribuer à redonner du dynamisme et de la vitalité à Marines, tout en préservant son cadre de vie et son âme. « Ensemble, faisons vivre l’esprit de Marines », résume-t-elle avec conviction. »

Âgée de 57 ans et habitante du quartier des Quatre Arpents, Murielle Madonna est une figure connue et appréciée de sa commune. Native de Marines, elle a toujours été profondément attachée à son territoire et à la vie locale. Professionnelle de longue date dans le secteur bancaire, Murielle exerce comme gestionnaire d’exploitation — un rôle qui exige rigueur, organisation et sens des responsabilités. Aujourd’hui, elle met également ces qualités au service de son engagement associatif et local. Très investie dans l’association Mouv’Arts Vexin, elle apprécie tout particulièrement sa mission de « cours de gym, renforcement et stretching » ainsi que « d’initiation à l’expression corporelle en danse jazz et hip-hop ». Elle aime à Marines ce cadre de vie privilégié : la proximité des habitants, l’esprit village, la nature tout proche, et en même temps la vitalité d’un collectif. Murielle croit que la commune mérite de rester un lieu où « il fait bon vivre », tout en conservant son envie d’aller de l’avant. Sensible à la force des initiatives citoyennes, elle souhaite aujourd’hui s’engager pour encourager la vitalité associative, soutenir les moments de partage et favoriser les rencontres inter-générationnelles. Son regard attentif et son énergie la portent vers des projets concrets, accessibles, qui renforcent le lien social sans tumulte. Pour Murielle. « Imaginons Marines autrement » est une formule simple mais porteuse de l’idée qu’ensemble, on peut faire évoluer les choses… en restant fidèle à ce qui fait le charme de la commune.

Philippe Trecherel s’est installé à Marines en 2024, au cœur du quartier Claude-Monet. Jeune retraité… mais retraité actif, il n’a jamais vraiment posé sa blouse. Après une carrière médicale dense et variée — de l’hôpital au SAMU, de la médecine interne à la cancérologie, puis en tant que médecin généraliste — Philippe a passé sa vie au service des autres. Cette volonté d’être utile ne s’éteint pas avec l’arrêt de sa pratique quotidienne : elle se transforme, simplement. Ce qui lui a plu à Marines ? Le calme, la campagne, et la proximité de tous les services essentiels. Un cadre paisible, mais vivant, idéal pour entamer une nouvelle étape de vie… et se consacrer aussi à sa passion. Car derrière le médecin se cache un passionné d’automobiles anciennes. Philippe aime la mécanique, le temps long, le geste précis. Il retape actuellement une vieille Mustang, un projet qui lui ressemble : patience, savoir-faire, persévérance… et la satisfaction de redonner vie à ce qui a du caractère. Son engagement municipal s’inscrit dans la continuité de son parcours : mettre son expérience au service du collectif. Il souhaite accompagner la commune pour renforcer et moderniser l’offre de soins, et partager son expertise en organisation médicale et paramédicale, afin d’assurer une couverture durable et accessible pour tous. Philippe rejoint l’aventure municipale avec l’esprit de service qui a guidé toute sa carrière : être utile, transmettre, et agir pour le bien-être collectif.

Âgé de 45 ans, Vincent Mercier vit depuis cinq ans dans le quartier des Quatre-Arpents. Après plusieurs années à Paris, il a eu envie de retrouver un rythme de vie plus doux, proche de la nature et d’une vraie communauté locale. C’est en venant rendre visite à sa meilleure amie installée à Marines qu’il a eu le coup de cœur : en quittant la ville et en découvrant les paysages du Vexin, il a su qu’il voulait vivre ici. Professionnel du secteur numérique, il travaille dans un environnement où la technologie évolue sans cesse. Passionné par l’innovation, Vincent aime explorer, apprendre et créer : montage vidéo, analyse d’images, domotique… Pour lui, la technologie est un outil au service du confort, de la créativité et du lien. Ce qu’il aime à Marines ? Le calme, la qualité de vie, les commerces à proximité, les services utiles au quotidien, mais surtout l’équilibre entre tranquillité et dynamisme. Une ville où l’on respire, mais où l’on ne s’ennuie pas. S’engager lui est apparu comme une évidence : une manière de rendre à la commune ce qu’elle lui apporte. Il souhaite mettre son énergie et sa culture du numérique au service de projets simples, pratiques et tournés vers l’avenir : faciliter la vie des habitants, connecter les générations, moderniser la ville sans perdre son âme. Comme il le dit lui-même : « Garder notre authenticité sans négliger notre avenir. »

Âgée de 52 ans, Noëlle Vaillant vit depuis dix-neuf ans dans le quartier du Val Godard à Marines. Professionnellement, elle est cheffe d’agence Travaux chez GRDF, un poste exigeant qui mobilise ses compétences techniques, son sens de l’organisation et sa capacité à gérer des projets d’envergure. Ce qu’elle aime à Marines, c’est son équilibre entre ruralité et dynamisme. Elle apprécie de vivre dans une commune où l’on retrouve toutes les commodités essentielles — commerces, écoles, associations — tout en restant au cœur de la nature et de l’esprit village. La vie associative fait d’ailleurs partie de ce qui la rattache profondément à la commune : licenciée au club de judo depuis huit ans, Noëlle y partage des moments de convivialité et de sport, synonymes de lien et d’entraide. Son engagement municipal s’inscrit dans la continuité de ses valeurs : agir, préserver et transmettre. Noëlle souhaite redynamiser Marines, veiller à la préservation du patrimoine et à la protection de l’environnement, tout en améliorant la sécurité et la qualité de vie des habitants. Forte de son expérience dans les domaines techniques et énergétiques, elle veut apporter son expertise à la gestion des infrastructures, à la modernisation des équipements et à la transition énergétique locale. « Je veux que Marines redevienne une ville vivante et dynamique », affirme-t-elle avec conviction. Une vision pragmatique, tournée vers l’action, et profondément ancrée dans le collectif. »

Âgée de 37 ans, Pascaline Semé habite rue André-Baleydier, à Marines. Née dans la commune, elle y a passé presque toute sa vie, à l’exception de deux années ailleurs durant son adolescence. Marines, c’est son ancrage, son histoire, et le lieu où elle a choisi de s’impliquer pour les autres. Après un parcours professionnel varié — d’abord surveillante en collège et lycée privé à Osny, puis auto-entrepreneuse —, la vie de Pascaline a basculé lorsqu’elle est devenue handicapée à la suite de trois maladies chroniques et d’un trouble du spectre autistique, tous diagnostiqués entre 2020 et 2024. Malgré ces épreuves, elle a choisi de transformer cette réalité en force et de s’engager pour une cause qui lui tient à cœur : rendre Marines plus inclusive et plus accessible. Membre de la commission extra-communale du bien-être animal, de l’association Power’Dog — qui remet gratuitement des chiens d’assistance à des personnes handicapées — et de l’APF France Handicap, Pascaline agit concrètement pour la solidarité, l’autonomie et la cause animale. Elle milite également pour la création d’un parc canin et pour des actions de sensibilisation à la stérilisation et à l’identification. Ce qu’elle aime à Marines ? Le calme de la campagne, la proximité des services et cet équilibre rare entre sérénité et dynamisme. « Je voudrais montrer que malgré le handicap, je peux apporter ma pierre à l’édifice », confie-t-elle. Une phrase qui résume parfaitement son état d’esprit : résilience, bienveillance et envie d’agir pour une commune plus humaine. »

Bruno Courtois incarne l’une de ces figures marinoises discrètes mais essentielles, profondément enracinées dans la vie locale. Installé depuis trente-six ans aux Murgers, il a vu la commune évoluer au fil des décennies, sans jamais perdre l’attachement sincère qu’il porte à son environnement et à ses habitants. Aujourd’hui retraité après une carrière de conducteur à la SNCF, Bruno continue d’investir son temps et son énergie au service du collectif. Membre du bureau de l’AC Marines, dont il a également assumé la fonction de trésorier, il connaît bien l’importance du tissu associatif dans une commune comme la sienne. Amoureux de calme et de nature, Bruno apprécie tout particulièrement l’accessibilité des espaces permettant une pratique sportive en plein air : marche, vélo route, VTT ou encore course à pied rythment son quotidien et nourrissent son équilibre. Son engagement municipal s’inscrit naturellement dans cette continuité : agir pour un cadre de vie plus propre, mieux entretenu, et encourager la création ou l’amélioration d’espaces techniques sportifs afin de favoriser l’activité physique pour tous. Bruno souhaite mettre son expérience et son sens pratique au service de la commune, avec une volonté simple et sincère : contribuer à une ville davantage tournée vers ses habitants, plus attentive à leurs besoins et à leur bien-être. Fidèle à son esprit pragmatique et à son profond attachement à Marines, il résume son engagement dans une phrase qui lui ressemble : « Pour que notre ville soit véritablement impliquée et à l’écoute de ses habitants. »

Âgée de 42 ans, Céline Tardy vit depuis treize ans dans le quartier du Val Godard à Marines. Infirmière depuis 2005, elle a exercé pendant treize ans en réanimation et au SMUR, avant de se spécialiser en anesthésie. Ce parcours riche et exigeant l’a forgée : sang-froid, réactivité, écoute et sens du collectif font partie de son quotidien. Son métier, profondément humain, lui a appris la valeur du travail en équipe et l’importance d’une organisation efficace au service des autres. Ces qualités, Céline souhaite aujourd’hui les mettre au profit de la vie locale, avec la même rigueur et la même bienveillance. Très attachée à Marines et à son esprit village, elle apprécie le cadre de vie qu’offre la commune : la nature environnante, la convivialité entre habitants et les services de proximité qui facilitent la vie de chacun. Si elle a choisi de s’engager, c’est par envie d’agir concrètement pour préserver cette qualité de vie et contribuer au développement harmonieux de la ville. Elle souhaite notamment s’impliquer dans les projets liés à la santé, à la solidarité et au bien-être des habitants, des domaines qu’elle connaît bien. « Être utile, c’est ce qui me motive depuis toujours. Aujourd’hui, j’ai envie de l’être aussi pour ma commune », résume-t-elle avec simplicité.

Âgée de 43 ans, Alexandra Le Kervern habite boulevard de la République, à Marines, où elle vit depuis neuf ans. Maman de trois enfants, elle a choisi la commune pour son équilibre rare entre ville et village : un cadre verdoyant, accueillant et apaisant, où il fait bon élever une famille. Directrice administrative dans le secteur de la menuiserie, Alexandra exerce un métier exigeant qui demande rigueur, méthode et sens de la relation humaine. Des qualités qu’elle souhaite aujourd’hui mettre au service de la vie municipale. Lorsqu’elle est arrivée à Marines, elle a eu un véritable coup de cœur pour la ville : ses espaces verts, sa convivialité et sa tranquillité. Mais au fil des années, elle a vu sa commune changer. Certaines zones se sont dégradées, des incivilités se sont multipliées, et des lieux autrefois vivants ont perdu de leur attractivité. C’est ce constat qui l’a poussée à s’engager : l’envie d’agir concrètement pour améliorer le cadre de vie des habitants et redonner à Marines le dynamisme et la convivialité qu’elle mérite. Alexandra souhaite contribuer à faire de la ville un espace plus propre, plus sûr et plus agréable à vivre, où les habitants se sentent pleinement impliqués. « Je veux m’investir pour le bien-être de notre ville et de chacun de ses habitants », confie-t-elle avec simplicité — une phrase qui traduit parfaitement son état d’esprit : engagement, énergie et attachement sincère à Marines.